Nymphoplastie
Nymphoplastie : Introduction

Nymphoplastie – Labiaplastie

Nymphoplastie : Introduction sur la chirurgie des petites lèvres

Le Dr Smarrito a réalisé plus de 500 nymphoplasties avec cette méthode unique, avec un recul de plus de  8 ans. Les autres types de nymphoplastie (longitudinale, triangle, W) peuvent être réalisées sur demande de la patiente, mais elles sont moins performantes.

Cette intervention dans la série étudiée par le Dr Smarrito a un taux de satisfaction > 95 %.

Hypertrophie labiale : une gêne au quotidien                                                         Hypertrophie labiale : une gêne au quotidien

L’âge des patientes bénéficiant d’une nymphoplastie réparatrice peut aller de 15 à 60 ans. Chez les patientes très jeunes, un avis pluri-disciplinaire est demandé et l’opération est réalisée dans les cas évidents de malformation. La présence des parents est alors nécessaire dès la première consultation.

100 % des patientes recommanderaient l’opération à d’autres femmes souffrant d’hypertrophie labiale.

Lors de la première consultation, la patiente peut être accompagnée. L’examen est purement externe et visuel, contrairement à l’examen chez un gynécologue avec spéculum. L’intervention de chirurgie des petites lèvres ne modifie en rien l’aspect de l’hymen, qui reste vierge en cas d’absence de rapport avant l’intervention.

Nymphoplastie : un taux de satisfaction exceptionnel des patientes

Il est à noter que la plupart des patientes, avait parlé à leur médecin habituel de la gêne procurée ou ressentie, sans réponse rassurante sur la symptômatologie ou sur le geste chirurgical à réaliser.

Les réponses incomplétes ou pire réponses négatives, déconseillant l’intervention sont probablement dûes à l’habitude des médecins gynécologues de voir des nymphoplasties réalisées par technique longitudinale.

La technique longitudinale aboutie souvent à un aspect amputé des lévres résiduelles. Il faut rappeler que d’un point de vue anatomique, les petites lèvres (labia minor) mesurent 1 cm à 1, 5 cm. Le but de l’interventione est donc de ramener les petites lèvres à une dimension normale et non de les réduire de manière excessive, afin de conserver un aspect esthétique et une fonction normale.

L’opération de nymphoplastie consiste à améliorer le quotidien des patientes, au niveau esthétique, au niveau vestimentaire (port de strings, de pantalons serrés) mais aussi dans environ 1/3 des cas au niveau sexuel en diminuant les frottements et douleurs par obstacle mécanique lors des rapports.

Il est à noter que les patientes agées, questionnées après l’intervention, estiment qu’elles auraient du faire la démarche et l’intervention avant.

Nymphoplastie : Risques et complications modérés.

Les complications de la nymphoplastie sont rares à condition de maîtriser parfaitement la technique et d’employer une technique moderne.

La complication principale est la désunion, c’est à dire les points qui lâchent. Cette complication a été ramenée à moins de 5% des cas grâce à la technique du Dr Smarrito.

Les autres complications sont comme dans toute chirurgie : le risque de saignement (assez rare), le risque d’infection (probablement à l’origine des points qui lâchent), voire d’autres complications plus rares, qui seront expliquées en consultation. Aucun trouble de la sensibilité sexuelle n’a été reporté à ce jour.

Il est impératif de diminuer la consommation tabagique, les jours qui précédent l’opération, pour éviter les complications.

Nymphoplastie : Modalités pratiques.

La durée opératoire est habituellement de 45 minutes. L’opération peut être réalisée de plusieures manières d’un point de vue anesthésique. Il est possible de réaliser une anesthésie générale (ou narcose compléte), une neurolept-analgésie, une rachi-anesthésie (comme pour un accouchement), voire une anesthésie locale. L’anesthésie locale est déconseillée compte tenu du caractère douloureux.

L’opération est réalisée en ambulatoire, c’est à dire que la patiente rentre le matin (ou en début d’après-midi) à jeûn et sort le soir même. Il faut être accompagnée pour la sortie, la conduite n’étant pas possible pendant quelques jours.

Il est possible de travailler après l’intervention. Une hygiène intime bi-quotidienne est recommandée. Un arrêt de sport est conseillé, ainsi qu’une abstinence.

La douleur est modérée et bien calmée par des antalgiques simples et des anti-inflammatoires.

Le coût de cette intervention n’est généralement pas pris en charge par les assurances privées suisses. Une demande au médecin des assurances peut être formulée en fonction des signes cliniques et de l’examen médical. Une prise en charge partielle est possible en France.

Pour tout renseignement, merci de nous adresser un email ou de nous joindre aux heures de bureau au 021 922 24 62.